Les femmes demeurent incontestablement des piliers dans la société.

Elles donnent la vie, elles éduquent, elles sont des épouses… Elles ont un rôle crucial !

D’ailleurs, j’aime toujours revenir sur une des phrases du chanteur Florent Pagny dans sa chanson : Et un jour une femme, lorsqu’il dit : « parce qu’elle porte le monde … »

Les femmes sont capables d’allier vie familiale et professionnelle, même si cela est loin d’être évident !

Lorsqu’on parle du mariage, chez les chrétiens, on dit que : C’est pour le meilleur et le pire !

D’ailleurs que l’on soit chrétiens ou pas, c’est cette vision du mariage qu’il faudrait avoir.

Lorsqu’une femme s’unit à un homme, elle doit accepter que les choses ne seront pas toujours roses et vice-versa s’agissant de l’homme.

Si vous voulez reconnaitre une femme bien, c’est celle qui continuera à rester avec lui, même s’il devient handicapé, pauvre, ou fera face à n’importe quelle situation difficile.

C’est celle qui aidera son homme à surmonter les obstacles, parce qu’elle et lui ne forment qu’un !

En termes d’éducation, elle doit avoir une influence positive sur ses enfants, en leur inculquant de bonnes valeurs.

Cependant, comme chez tout être humain, chez la gente féminine, on retrouve des femmes qui sont des exemples, de par leur gentillesse, les actions positives qu’elles font, et à l’inverse, d’autres qui font beaucoup de mal.

Celles qui par conséquent : sont très mauvaises ( au point d’être diaboliques ).

Kocc Barma : considéré comme l’un des plus grands philosophes sénégalais a dit un jour :

« Djiguéne sopal té boul wolou ! »

Ce qui se traduit en français, par : « Appréciez une femme, mais ne lui accordez pas toute votre confiance ! »

Certains hommes vous diront qu’ils ne font pas confiance aux femmes, notamment ici au Sénégal, car beaucoup sont des opportunistes ( matérialistes ).

Elles vont s’intéresser uniquement à eux seulement s’ils sont riches, ont une bonne situation professionnelle, en leur faisant croire qu’elles sont amoureuses, alors qu’elles ne pensent qu’à leur argent !

D’ailleurs, cette réalité a été mise en avant dans certaines séries télévisées sénégalaises, telles que Xalisso .

Les femmes il faut le dire, elle sont capables de faire beaucoup de mal quand elles sont vraiment mauvaises, on pourrait citer tellement d’exemples à ce sujet.

Certaines font aussi bien du mal aux hommes, qu’à leurs semblables ( d’autres femmes ).

S’agissant du dernier exemple, j’en parle dans mon article : la méchanceté entre femmes.

C’est pourquoi pas mal de femmes préfèrent ne pas avoir beaucoup d’amies, voire parfois, pas du tout !

Venons-en à l’exemple des marâtres ( j’ai également déjà abordé cette thématique ) pour parler de ces femmes qui sont abominables envers les enfants de leur époux issus d’un précédent mariage.

Combien sont-ils à travers les 4 coins du monde, à avoir subi tant de méchancetés venant de la femme de leur père ?

Personnellement, je connais des gens qui ont vécu ça !

Ces femmes sont capables du pire, notamment dans la société africaine (maraboutage ).

Pour revenir sur la série Xalisso, il y a l’exemple du personnage Oumar Diagne et de sa belle-mère Khadija.

Celle-ci est à la base de ses troubles mentaux, en raison des pratiques mystiques auxquelles elle avait eu recours pour le détruire !

On retrouve également dans beaucoup de mariages polygames, toutes sortes de méchancetés.

Une femme qui a eu à verser de l’huile chaude sur sa coépouse, tuer son bébé, ou encore qui a opté pour le maraboutage afin que l’enfant de sa coépouse ne réussisse pas dans sa vie, meurt ou tombe gravement malade.

Il y a quelques mois deux histoires qui se sont déroulées au Sénégal, m’ont profondément touché !

La première est celle de Fallou Fall accusé à tord par sa marâtre d’avoir violé sa demie- soeur.

Il a été condamné à 15 ans de prison, mais en a déjà passé 5 !

Des manifestants dont des proches à lui s’étaient mobilisés en mars dernier pour demander la réouverture du dossier.

Voici également le visuel qui était diffusé sur les réseaux sociaux pour la collecte de dons, afin de le faire sortir de prison.

Pour revenir sur le contexte de cette histoire, ci-dessous un résumé provenant du site : diasporactu.net

Fallou Fall a perdu sa mère très jeune, un drame qui a marqué un tournant dans sa vie.

Peu après, son père a introduit une nouvelle épouse dans le foyer, une présence qui, selon plusieurs proches, aurait radicalement changé la dynamique familiale. Des témoignages recueillis auprès de voisins et d’amis décrivent une belle-mère hostile et manipulatrice, déterminée à rendre la vie impossible à Fallou et à ses frères et sœurs.
Selon ces mêmes sources, cette femme aurait réussi à influencer profondément leur père, provoquant un éloignement émotionnel entre ce dernier et ses propres enfants. L’accusation de viol portée contre Fallou serait ainsi perçue comme l’aboutissement d’un plan savamment orchestré pour l’écarter définitivement, et s’assurer un contrôle total sur le foyer, voire le patrimoine familial.

La seconde histoire est celle du jeune Amadou Mbaye, âgé de 21 ans, qui lui aussi avait été accusé de viol par sa tante maternelle sur ses 2 petites cousines. Il a été finalement acquitté, après avoir purgé une peine de deux ans.

Oui, accusé par sa tante maternelle ! C’est ce qui choque le plus !

Heureusement, la vérité a fini par éclater, car ses cousines finiront par avouer qu’elles avaient été influencées par leur mère. Tout ceci était une histoire montée de toute pièce par cette dernière.

Certains se demanderont pourquoi une tante maternelle a pu faire autant de mal à son neveu ?

Pourquoi avait-elle inventé toute cette histoire ?

Vous pouvez suivre l’ interview du jeune Amadou Mbaye dans cette vidéo de l’animateur Pape Cheikh Diallo.

Désolé pour ceux qui ne parlent pas wolof !

Pour venir sur un autre exemple, concernant l’aspect du mariage, nombreuses sont les femmes qui en détruisent.

Combien d’hommes, comme des femmes ont vu leur mariage se briser à cause d’autres femmes ?

Il peut s’agir de leurs propres mères, leurs belles-mères, leurs belles-sœurs…

Dans une autre fiction sénégalaise intitulée : Amours brisés, c’est une femme qui avait essayé de tuer son mari. Ce genre de faits existent également dans la vie réelle.

En conséquence : Toutes les femmes au sens général ne peuvent pas être considérées comme des socles de la société, car certaines sont loin de l’être, de, par la méchanceté qu’elles cultivent au quotidien à l’endroit des autres ou d’autrui. Ce qui est donc loin d’être bénéfique pour la société !

Toutefois, je tire mon chapeau à ces femmes qui restent encore des modèles, des femmes de valeurs, des femmes remplies d’amour, de gentillesse, de bienveillance qui heureusement existent encore !