Vivant à l’étranger ou dans leurs pays dont ils sont origines, nombreux sont ces africains qui sont soutiens de familles.
Personnellement, je trouve que ce sont des personnes qui ont beaucoup de mérite, surtout lorsqu’on sait qu’il y en a beaucoup parmi elles qui ne bénéficient pas toujours de gros revenus, mais qui font le nécessaire avec le peu qu’elles gagnent afin de subvenir aux besoins de leurs familles (père, mère, frères, sœurs..). Des individus qui auront ainsi du mal à épargner.
Il arrive très souvent qu’hommes ou femmes qui soient des soutiens de famille (notamment celles vivant à l’étranger) de subir de grosses pressions de la part de leur entourage lorsqu’il s’agit de leur faire parvenir de l’argent.
Combien d’immigrés envoient chaque mois des sommes importantes à leurs familles, sans conserver un seul centime pour eux ?
Vous pouvez être amené( e ) à envier un individu, parce qu’il travaille dans une boite connue, sans imaginer une seule seconde qu’il a du mal à prendre soin de lui, parce que tout simplement l’intégralité de son salaire est partagé entre les différents membres de sa famille.
Je connaissais d’ailleurs une personne dans le même cas, qui travaillait dans une société de renommée internationale, avec un statut de cadre, mais qui se souciait beaucoup plus de sa famille que de lui-même. Chaque fois qu’il recevait son salaire, envoyait aussitôt cet argent au pays.
Il y a également ceux qui en plus de leurs familles doivent entretenir leurs épouses ainsi que leurs enfants, au point que leurs charges soient devenues doublement importantes.
Une situation pas toujours facile, mais qu’ils arrivent à gérer malgré tout, car n’ayant guère le choix !
Ce qui ne m’empêche toutefois d’éprouver de la compassion à leur égard, car comme je l’expliquai plus haut, c’est très dur de joindre les deux bouts lorsqu’on ne gagne pas un salaire convenable pour ne pas dire assez important.
C’est ce qui explique d’ailleurs qu’ils restent confrontés au stress de façon permanente.
D’autre part, la vie d’autrui peut parfois basculer du jour au lendemain, le contraignant ainsi à devoir prendre les rennes, en finissant par travailler très tôt afin de soutenir désormais sa famille sur le plan financier.
Une chose qui peut arriver suite à la mort ou une maladie grave d’un de ses parents.
Toutefois, aussi durs que puissent être les coups de la vie, il arrivera toujours un moment où les bonnes actions finiront par fructifier.
Par conséquent : Chaque geste est une graine que l’on plante. Les bonnes actions prennent parfois du temps à pousser, mais donnent de beaux grands arbres.